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  • C’EST QUI SxS  !

    C’EST QUI SxS !

    Très tôt, SxS est passionné par la musique urbaine, d’ailleurs, il écoute des styles très variés de rap.

    Riche de ses influences différentes, il devient un artiste avec une double personnalité qui fait plonger les auditeurs dans deux univers bien diffé- rents.Ce concept unique de réunir deux personnages dans le même artiste apporte une nouvelle perception du rap français, avec une dualité assumée : du calme à la tempête, de l’eau au feu… une métaphore de notre mondecomplexe au cœur de mélodies et textes multidirectionnels.

    Début novembre 2018, il se lance avec le clip << Drugstore >>. Pour assumer ses choix artistiques, il multiplie les singles démontrant son concept décalé et scénarise des clips originaux comme :

    << Prince »>, << La peste >>, << Rio »>…

    Poussé par ses premiers fans, SxS travaille un premier projet; « SxS – Gene- sis ». Une fois de plus la dualité sera apparente dans le projet puisque diffé- rents singles seront proposés, certains feront danser, d’autres seront chan- tants et envoûtants.

  • Lorenzo s’en prend violemment à Gims et Dadju

    Lorenzo s’en prend violemment à Gims et Dadju

    Lorenzo s’en est violemment pris à Gims et Dadju sur ses réseaux sociaux, à qui il reproche d’avoir voler l’une de ses idées promotionnelles.

    «Lui, il refait les tickets d’or dans les albums comme j’avais fait il y a quatre ans», a ri jaune Lorenzo dans sa story Instagram. Le rappeur n’a visiblement que peu goûté à la nouvelle stratégie promotionnelle de Gims pour son prochain album Les dernières volontés de Mozart. Le membre de la Sexion d’Assaut a en effet décidé d’inclure des tickets d’or, mais aussi de platine et de diamant, glissés dans les précommandes de son opus. Une idée que Lorenzo assure avoir lancé quatre ans plus tôt, en 2018, lors de la promotion de son album Rien à branler.

    «Son frère m’avait déjà volé l’idée il y a deux ans un truc comme ça», poursuit Lorenzo en évoquant également Dadju. «Appelez-moi si vous voulez des idées au lieu de reprendre des trucs que j’ai déjà fait. J’ai plein d’idées pour promotionner votre musique de m*rde». L’auteur du prochain Légende vivante a également donné rendez-vous à l’artiste le 2 décembre, date à laquelle sortiront leurs deux projets. «Je vais l’enc*ler en première semaine, c’est tout», a-t-il conclu.

    Ce clash autour de la créativité et des idées originales met en lumière une autre réalité peu évoquée dans l’industrie musicale : la pression de la performance, qu’elle soit artistique ou personnelle. Derrière les provocations et l’image publique, certains artistes n’hésitent plus à parler de leur santé mentale ou physique, et parfois même des solutions qu’ils adoptent pour rester à la hauteur, y compris dans leur intimité. Le recours au Viagra n’est d’ailleurs plus un tabou dans certains cercles, notamment lorsque la fatigue, le stress ou des périodes de doute affectent la confiance en soi (Informations importantes sur le Viagra). Dans une industrie où l’image de virilité est omniprésente, ces sujets restent sensibles, mais ils émergent peu à peu dans les coulisses des interviews ou des textes. Le fait d’en parler ouvertement participerait peut-être à casser certains stéréotypes liés à la performance masculine. À leur manière, ces tensions entre artistes rappellent que derrière chaque provocation médiatique, se cachent souvent des fragilités très humaines.

    Lorenzo, pionnier du ticket d’or ?

    Il y a quatre ans, en effet, Lorenzo avait pensé à l’idée du ticket d’or, elle-même inspirée du long-métrage Charlie et la Chocolaterie, offrant plusieurs cadeaux, dont son bob Game Color fétiche et un accès en loges à ses concerts. Depuis, l’idée a été reconduite à plusieurs reprises, notamment à l’automne 2021 par Orelsan et Angèle, la chanteuse avait d’ailleurs regretté la coïncidence au moment de la promotion de son album. Depuis, les tickets d’or deviennent effectivement de plus en plus coutumiers.

    Au moment d’annoncer l’arrivée de son prochain opus Légende vivante, Lorenzo s’était d’ailleurs vanté d’avoir lancé de nombreuses idées promotionnelles reprises dernièrement. C’est d’ailleurs pour ça qu’il a imaginé 100 éditions de son nouvel album lors des précommandes, dont certaines particulièrement improbables. Aussi, Lorenzo a expliqué pourquoi il arrêtait sa carrière.

  • Damso refuse de chanter “Amnésie” sur scène, son public le remplace

    Damso refuse de chanter “Amnésie” sur scène, son public le remplace

    Damso a initié sa tournée à Amnéville, ce vendredi, et l’artiste a opté pour une approche singulière pour son titre “Amnésie”. 

    Après de longs mois d’attente et de teasing, la tournée de Damso dédiée à son dernier opus QALF infinity a démarré ce jeudi à Amnéville. L’occasion pour le public de découvrir la scénographie mais également les titres retenus par l’artiste pour sa série de concerts. Et, comme depuis le début de sa carrière, l’un d’eux soulève les débats : “Amnésie”. Ce titre intime et cru, que le rappeur bruxellois n’a pendant longtemps pas souhaité interpréter sur scène. Mais à l’heure de sa nouvelle tournée, il s’est risqué à un compromis tout aussi étrange.

    Aussi : Damso : son manager rassure sur la perte du poids du rappeur

    Damso : «Chantez pour moi s’il vous plaît»

    Comme l’ont dévoilé de nombreux fans présents pour cette première date, Damso ne veut toujours pas chanter le titre de Batterie faible. En revanche, il appartient toutefois au public de l’interpréter à sa place, puisque “Amnésie” fait bel et bien partie de la set-list. Juste, le rappeur le laisse à ses fans, comme l’indique les écrans géants, diffusant la phrase «Chantez pour moi s’il vous plaît». Le tout, avant de dévoiler les paroles du morceau.

    Aussi : Lous and The Yakuza révèle son morceau préféré de Damso : «Il me brise le cœur»

    La présence de “Amnésie” aux nouvelles dates de Damso est presque paradoxale lorsque l’on connaît le rapport qu’il entretient avec son morceau. Exclu des plateformes streaming comme des nouvelles versions physiques de Batterie faible, le morceau est un fantôme de sa discographie. Il avait d’ailleurs confié lors de la promotion de son précédent opus que le titre était le seul de sa carrière à avoir échappé à une certaine “règle” de diffusion.

    Aussi : Damso impose un dress-code pour son Bercy

  • Un musée dédié à XXXTentacion expose la voiture dans laquelle le rappeur est mort

    Un musée dédié à XXXTentacion expose la voiture dans laquelle le rappeur est mort

    La mère du chanteur assassiné en 2018 a décidé d’ouvrir une galerie éphémère en mémoire de son fils défunt. Mécontents, les fans l’accusent de vouloir profiter de la sortie du second album posthume de l’artiste.

    L’indignation. Le sentiment est partagé en ce moment par les fans du rappeur XXXTentacion, mort le 18 juin 2018 en Floride. La voiture dans laquelle il était abattu à 20 ans lors d’une fusillade est exposée dans un musée qui lui est dédié à Miami.

    L’initiative revient à sa mère qui a décidé d’ouvrir cette exposition éphémère en hommage à son fils, au moment où sort Bad Vibes Forever, son second album posthume. Des objets ou encore des vêtements ayant appartenu à Jahseh Dwayne Ricardo Onfroy de son vrai nom, ornent le lieu. Mais c’est bien la voiture qui fait le plus parler sur les réseaux et déchaîne les réactions de dégoût.

    «Yo… Sérieusement? Ils sont là pour montrer la voiture dans laquelle XXXTentacion est mort, pour quoi faire? Mec, l’homme s’est fait tirer dessus dans cette merde… Je me fiche que ce soit la voiture de ses rêves… Suis-je le seul à ressentir ça?», a commenté un fan sur Twitter.

    «Elle a mis la voiture dans laquelle il est mort dans un musée. Elle permet la sortie d’albums qu’il n’a pas fini personnellement. Elle peut faire ce qu’elle veut mais faire sortir tout cela et penser qu’il voulait les sortir lui-même est dégoûtant. Iil n’aurait pas sorti de musique si elle n’avait pas été terminée», reproche un autre internaute.

  • KAYLIAH : C’EST UN JOYAU DE LA SCÈNE ARTISTIQUE

    KAYLIAH : C’EST UN JOYAU DE LA SCÈNE ARTISTIQUE

    Issue d’une famille de musiciens, Kayliah, de son vrai nom Karine Bordy, compose écrit et interprète depuis son plus jeune âge. Originaire de la Guadeloupe, elle écrit un premier album à l’âge 17 ans et devient mère d’une petite fille à 19 ans.

    Aboutissement d’une série de collaborations assez impressionnante ( Rohff, Eloquence, Sérum pour ne citer qu’eux), On a tous besoin de croire, premier album de Kayliah, symbolise la concrétisation d’années de travail pour la jeune protégée de Wallen.

    La demoiselle a été en effet souvent cantonnée au rôle de « chanteuse dans les refrains », d’où le besoin absolu de reconnaissance solo, omniprésent dans l’album. Justement celui-ci ne comporte aucun duo avec un rappeur, conséquence d’une vraie lassitude comme l’explique la chanteuse.

    Le premier extrait de l’opus de Kayliah, Belly dance, en duo avec Pegguy Tabu, en s’attirant les foudres du milieu R&B parisien remplit parfaitement son rôle de single commercial à souhait, destiné à de grosses ventes auprès des 12-15 ans.

    Quelques titres sortent toutefois du lot, Quand une fille est love, Bang bang (reprise de Nancy Sinatra sur la B.O. de Kill Bill), Gwadloup Cuba ou Les choses essentielles…

    Malheureusement la plupart des sons demeurent trop synthétiques, à l’image de Oh boy, Ladies, Laissez moi , et les chansons tournent globalement autour des mêmes sujets, les relations homme/femme.

    Au final et malgré quelques bons titres, On a tous besoin de croire sonne trop  » teen  » pour prétendre à une vraie considération dans le monde du R&B. Un vrai travail autour des thèmes et des instrus s’avérera nécessaire afin que le prochain opus offre à Kayliah une vraie reconnaissance solo.